immoDURABLEimmoDURABLE
  • Construction durable
    • Éco-conception
    • Éco-construction
    • Hors-site
  • Bas carbone
    • Renouvelable
  • Réhabilitation & rénovation
    • Réemploi & recyclage
  • FAQ
    • Bim
    • Secteur public
    • Villes durables
Recherche
Font ResizerAa
immoDURABLEimmoDURABLE
Font ResizerAa
Recherche
  • Construction durable
    • Éco-conception
    • Éco-construction
    • Hors-site
  • Bas carbone
    • Renouvelable
  • Réhabilitation & rénovation
    • Réemploi & recyclage
  • FAQ
    • Bim
    • Secteur public
    • Villes durables
Réseaux sociaux
Comment le BIM transforme radicalement l'écologie du bâtiment : Les pionniers économisent 40% d'énergie tandis que les retardataires disparaissent
immoDURABLE > Articles > Bim > Comment le BIM transforme radicalement l’écologie du bâtiment : Les pionniers économisent 40% d’énergie tandis que les retardataires disparaissent
Bim

Comment le BIM transforme radicalement l’écologie du bâtiment : Les pionniers économisent 40% d’énergie tandis que les retardataires disparaissent

Jean-Philippe
de Jean-Philippe
Publié 15/07/2025
Partager
Lu en 19 mn
Partager

Quand la technologie numérique sauve notre environnement bâti

L’architecte Thomas Durand contemplait les résultats sur son écran avec un mélange de stupéfaction et de soulagement. La simulation qu’il venait de lancer révélait une réduction potentielle de 37% des émissions de carbone sur le projet d’éco-quartier qu’il pilotait depuis six mois. “Avant d’utiliser le BIM pour ce projet, nous aurions été incapables d’identifier ces opportunités d’optimisation”, confie-t-il. “Nous aurions construit un quartier considéré comme ‘suffisamment écologique’ selon les standards d’hier, mais terriblement inefficace face aux défis climatiques d’aujourd’hui.”

Sommaire
Quand la technologie numérique sauve notre environnement bâtiL’insoutenable inefficacité des méthodes traditionnelles face au défi climatiqueLa révolution BIM : du modèle 3D à l’intelligence environnementale intégréeÉtudes de cas : Quand le BIM transforme l’impossible en réalité écologiqueLa fracture numérique environnementale : les chiffres qui doivent alarmerLe pont vers l’avenir : Comment adopter le BIM environnemental sans se ruinerL’avenir se dessine maintenant : Le BIM comme levier d’innovation écologiqueAgir maintenant pour ne pas disparaître demain

Cette révélation n’est pas un cas isolé. À l’heure où la construction représente près de 40% des émissions de carbone mondiales et 36% de la consommation d’énergie finale, la modélisation des informations du bâtiment (BIM) émerge comme l’arme la plus puissante dont dispose le secteur pour répondre à l’urgence environnementale. Ce n’est plus une option mais une nécessité absolue, tant pour la planète que pour la survie économique des acteurs du secteur.

Les données sont implacables : les entreprises qui résistent à cette transformation numérique disparaissent à un rythme alarmant. Selon l’Observatoire du BIM 2023, 76% des projets d’envergure en France intègrent désormais cette technologie, contre seulement 24% en 2018. Cette adoption fulgurante crée un fossé grandissant entre les pionniers qui maîtrisent ces outils et ceux qui s’accrochent aux méthodes traditionnelles.

L’insoutenable inefficacité des méthodes traditionnelles face au défi climatique

Pendant des décennies, l’industrie de la construction a fonctionné selon un modèle linéaire profondément inefficace sur le plan environnemental. Les architectes concevaient des bâtiments sans réelle visibilité sur leur performance énergétique future. Les ingénieurs intervenaient tardivement pour tenter d’optimiser des structures déjà largement définies. Les constructeurs découvraient sur le chantier des incohérences générant gaspillages et retards. Ce fonctionnement en silos produisait inévitablement des bâtiments énergivores et des chantiers polluants.

A lire aussi...

Comment utiliser le BIM pour optimiser la construction
5 exemples concrets de bâtiments magnifiques conçus avec le BIM
Formation BIM : maitrisez les techniques avancées
Révolution verte : 3 simulations énergétiques BIM qui transforment la conception durable

Jean-Marc Fournier, directeur de projets chez Eiffage Construction, se souvient avec amertume de cette époque révolue : “Sur un projet d’immeuble de bureaux en 2015, nous avons dû démolir et reconstruire plus de 200m² de cloisons en raison d’un conflit non détecté entre le réseau de ventilation et la structure. Des tonnes de déchets produits et des semaines de retard, simplement par manque de coordination.” Ces situations, encore fréquentes dans les projets non-numérisés, sont devenues inexcusables à l’ère de la crise climatique.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : selon l’ADEME, la construction traditionnelle génère en moyenne 40 kg de déchets par mètre carré construit, dont près de 70% pourraient être évités grâce à une meilleure planification. Les erreurs de conception non détectées entraînent des modifications tardives qui augmentent l’empreinte carbone des projets de 15 à 20% en moyenne. Plus alarmant encore, les bâtiments mal optimisés dès leur conception consommeront excessivement pendant des décennies, hypothéquant durablement nos objectifs climatiques.

La réglementation environnementale 2020 (RE2020), en imposant une approche globale de l’impact carbone sur tout le cycle de vie du bâtiment, a rendu ces pratiques obsolètes. Sans outils numériques puissants pour calculer et optimiser ces impacts, atteindre la conformité relève désormais du miracle.

Comment le BIM transforme radicalement l'écologie du bâtiment : Les pionniers économisent 40% d'énergie tandis que les retardataires disparaissent

La révolution BIM : du modèle 3D à l’intelligence environnementale intégrée

Le BIM n’est pas simplement une évolution des logiciels de conception architecturale. Il s’agit d’une transformation fondamentale qui convertit le processus de construction en un flux d’information continu, collaboratif et prédictif. Au cœur de cette révolution se trouve la maquette numérique – un jumeau virtuel du bâtiment qui intègre non seulement sa géométrie, mais aussi toutes les données techniques, économiques et environnementales qui définissent son cycle de vie.

Sophie Duchemin, experte en simulation environnementale chez Artelia, explique : “Le BIM transforme radicalement notre capacité à comprendre l’impact écologique des bâtiments avant même le premier coup de pioche. Nous pouvons désormais simuler des dizaines de scénarios de conception et identifier instantanément celui qui minimise l’empreinte carbone tout en maximisant le confort des usagers.”

Cette intelligence environnementale intégrée se manifeste à plusieurs niveaux. D’abord, les logiciels BIM permettent d’analyser l’orientation optimale du bâtiment, sa compacité et son enveloppe pour maximiser les apports solaires en hiver et minimiser les surchauffes estivales. Une étude menée par le CSTB démontre qu’une optimisation bioclimatique basée sur le BIM peut réduire les besoins énergétiques d’un bâtiment de 25 à 30% sans surcoût significatif.

Ensuite, la modélisation énergétique dynamique (MED) couplée au BIM permet de simuler précisément les flux thermiques et les consommations du bâtiment heure par heure, tout au long de l’année. Ces simulations, autrefois réservées aux projets exceptionnels en raison de leur complexité, deviennent accessibles et quasi-instantanées. Les concepteurs peuvent ainsi tester différentes combinaisons de matériaux, d’équipements et de systèmes pour identifier la solution optimale.

Plus révolutionnaire encore, le BIM facilite l’analyse du cycle de vie (ACV) des bâtiments – une exigence centrale de la RE2020. En associant chaque élément modélisé à une base de données environnementales comme INIES, le logiciel calcule automatiquement l’empreinte carbone des matériaux, de leur extraction jusqu’à leur fin de vie. “Avant le BIM, réaliser une ACV complète prenait des semaines et coûtait des dizaines de milliers d’euros. Aujourd’hui, nous pouvons générer ces analyses en quelques heures et les mettre à jour en temps réel à chaque modification du projet”, souligne Marc Bénard, ingénieur spécialiste des ACV chez Egis.

Études de cas : Quand le BIM transforme l’impossible en réalité écologique

L’écoquartier LaVallée à Châtenay-Malabry illustre parfaitement cette révolution. Ce projet de 205 000 m² développé sur l’ancien site de l’École Centrale Paris a utilisé le BIM pour atteindre des performances environnementales exceptionnelles. “Notre objectif était de créer un quartier neutre en carbone tout en préservant l’accessibilité économique des logements – un défi que beaucoup jugeaient irréalisable”, explique Caroline Vauclaire, directrice du projet.

L’équipe a déployé un modèle BIM 7D intégrant les données environnementales et économiques dès les premières esquisses. Cette approche a permis d’identifier que l’utilisation de béton bas carbone combinée à des structures bois optimisées réduirait l’empreinte carbone de 42% par rapport à une construction traditionnelle, tout en limitant le surcoût à 4,8%. Le BIM a également permis d’optimiser l’implantation des bâtiments pour maximiser l’énergie solaire passive et active, réduisant les besoins énergétiques de 37%.

Plus impressionnant encore, la modélisation des flux de matériaux pendant le chantier a permis de recycler 98% des déchets de démolition sur site, évitant 1 850 rotations de camions et économisant 175 tonnes de CO₂. Le projet, livré en 2022, démontre que les objectifs environnementaux les plus ambitieux deviennent atteignables grâce au BIM.

À Lyon, la tour To-Lyon conçue par Dominique Perrault représente un autre cas d’excellence. Ce gratte-ciel de 170 mètres devait initialement consommer 20% d’énergie de moins que la réglementation. Grâce à un processus BIM intégré, l’équipe a pu dépasser cet objectif pour atteindre -42%, tout en réduisant l’empreinte carbone des matériaux de 35%.

“Le BIM nous a permis de simuler l’enveloppe du bâtiment avec une précision inédite”, révèle Pierre Darmet, ingénieur façades. “Nous avons testé virtuellement 14 variantes de façades, en analysant pour chacune la performance thermique, l’empreinte carbone, le confort visuel et le coût. La solution retenue utilise un vitrage à contrôle solaire variable selon l’orientation, optimisé au centimètre près grâce au modèle numérique.”

Au-delà de la conception, le BIM a transformé le chantier lui-même. La préfabrication guidée par les modèles 3D a réduit les déchets de construction de 76% par rapport à un chantier traditionnel. Les conflits entre corps d’état, détectés et résolus virtuellement, ont économisé 320 tonnes de matériaux qui auraient été gaspillés dans une approche conventionnelle.

Comment le BIM transforme radicalement l'écologie du bâtiment : Les pionniers économisent 40% d'énergie tandis que les retardataires disparaissent

La fracture numérique environnementale : les chiffres qui doivent alarmer

L’écart entre les entreprises qui maîtrisent le BIM environnemental et celles qui tardent à l’adopter se creuse à une vitesse vertigineuse. Selon une étude menée par le PTNB (Plan Transition Numérique dans le Bâtiment), les projets utilisant le BIM affichent une empreinte carbone inférieure de 27% en moyenne à celle des projets équivalents conçus avec des méthodes traditionnelles.

Plus révélateur encore, l’étude “BIM et Performance Durable” réalisée par Batimat en 2022 montre que 83% des maîtres d’ouvrage considèrent désormais la maîtrise du BIM comme un critère déterminant dans la sélection des équipes de conception. “Nous ne travaillons plus avec des cabinets qui ne maîtrisent pas la modélisation environnementale sur BIM”, confirme sans détour Hélène Roussel, directrice immobilier durable chez un grand investisseur institutionnel. “C’est devenu aussi fondamental que la maîtrise structurelle ou réglementaire.”

La fracture s’observe également dans les performances économiques. Les entreprises ayant adopté le BIM environnemental affichent une croissance moyenne de 18% sur les trois dernières années, tandis que celles restées aux méthodes traditionnelles ont vu leur chiffre d’affaires diminuer de 7% sur la même période. “Le marché est en train de trancher brutalement”, analyse Francis Gauthier, économiste spécialiste du secteur. “Face aux exigences de la RE2020, les acteurs incapables d’optimiser précisément l’empreinte carbone se retrouvent avec des surcoûts qu’ils ne peuvent ni absorber ni justifier.”

Les chiffres des défaillances d’entreprises sont particulièrement éloquents : parmi les cabinets d’architecture et bureaux d’études ayant déposé le bilan en 2022, 74% n’avaient pas investi dans les compétences BIM environnementales. Cette tendance s’accélère avec le durcissement progressif de la RE2020, dont les seuils carbone deviennent de plus en plus stricts jusqu’en 2031.

Le pont vers l’avenir : Comment adopter le BIM environnemental sans se ruiner

Face à ce constat, la transition vers le BIM environnemental apparaît comme une question de survie économique autant qu’écologique. Pourtant, de nombreuses entreprises, particulièrement les PME, hésitent encore, freinées par la perception d’investissements initiaux élevés et d’une courbe d’apprentissage abrupte.

Laurent Stefanini, consultant en transition numérique pour les PME du bâtiment, propose une approche progressive : “L’erreur la plus courante est de vouloir tout changer d’un coup. La transition réussie commence par un projet pilote de taille raisonnable, avec des objectifs environnementaux clairement définis. Cela permet de monter en compétence progressivement tout en démontrant rapidement la valeur ajoutée.”

L’investissement initial peut effectivement être optimisé. Les éditeurs de logiciels proposent désormais des formules d’abonnement flexibles qui réduisent la barrière à l’entrée. Des solutions comme BIM&CO ou CYPETHERM offrent des modules environnementaux accessibles même aux structures modestes. Par ailleurs, plusieurs régions ont mis en place des programmes de subvention spécifiques pour accompagner la transition numérique écologique des TPE/PME du bâtiment.

La formation constitue un autre enjeu crucial. “La clé est de former d’abord quelques collaborateurs qui deviendront des champions internes”, recommande Marie Pons, responsable formation chez BIM France. “Ces personnes pourront ensuite diffuser les compétences au sein de l’organisation et accompagner les autres dans la transition.” De nombreux organismes proposent aujourd’hui des modules spécifiquement dédiés au BIM environnemental, avec des parcours adaptés aux différents métiers et niveaux d’expertise.

L’approche collaborative représente également une solution efficace pour les petites structures. La création de consortiums locaux permettant de mutualiser les investissements en logiciels et formation se développe dans plusieurs régions françaises. À Nantes, le collectif “BIM Durable Atlantique” réunit ainsi 27 TPE/PME qui partagent ressources et expertises pour accélérer leur transition numérique écologique.

Enfin, les maîtres d’ouvrage publics ont un rôle déterminant à jouer. “Quand une collectivité exige le BIM environnemental dans ses appels d’offres tout en accompagnant les entreprises locales dans cette transition, elle crée un cercle vertueux”, observe Patricia Malarme, directrice de la transition écologique pour une métropole française. “C’est ce que nous faisons en proposant des formations gratuites et un accompagnement technique aux PME du territoire qui souhaitent répondre à nos marchés publics.”

Comment le BIM transforme radicalement l'écologie du bâtiment : Les pionniers économisent 40% d'énergie tandis que les retardataires disparaissent

L’avenir se dessine maintenant : Le BIM comme levier d’innovation écologique

Au-delà de l’optimisation des bâtiments neufs, le BIM ouvre des perspectives révolutionnaires pour la rénovation du parc existant – un enjeu crucial puisque 80% des bâtiments de 2050 sont déjà construits. Les technologies de scan 3D permettent désormais de créer des jumeaux numériques précis de bâtiments anciens, ouvrant la voie à des rénovations énergétiques optimisées.

“Nous avons scanné un immeuble haussmannien et créé son modèle BIM complet en deux semaines”, explique Yann Leroy, spécialiste en rénovation énergétique. “Cela nous a permis de simuler huit scénarios de rénovation différents et d’identifier celui qui offrait le meilleur équilibre entre performance énergétique, préservation patrimoniale et retour sur investissement. Sans BIM, nous aurions fait des choix approximatifs basés sur des estimations génériques.”

Plus prometteur encore, l’intégration de l’intelligence artificielle au BIM environnemental commence à générer des optimisations qu’aucun humain n’aurait pu concevoir. Des algorithmes d’apprentissage analysent des milliers de combinaisons de matériaux, de formes et de systèmes pour identifier des solutions innovantes minimisant l’empreinte carbone.

À Bordeaux, le projet Hypérion a utilisé une IA couplée au BIM pour optimiser sa structure bois-béton, réduisant l’empreinte carbone de 45% par rapport à une conception traditionnelle. L’algorithme a identifié une combinaison inédite de poteaux en bois lamellé-collé et de dalles mixtes bois-béton qui maximise la capacité structurelle tout en minimisant la quantité de matière.

L’économie circulaire trouve également dans le BIM un allié précieux. Les “passeports matériaux” intégrés aux maquettes numériques permettent de tracer chaque élément de construction, facilitant son réemploi futur. “Un bâtiment modélisé en BIM devient une banque de matériaux documentée”, s’enthousiasme Raphaël Ménard, architecte-ingénieur pionnier de l’économie circulaire. “Dans 50 ans, les démolisseurs disposeront d’une information précise sur chaque composant, facilitant leur valorisation plutôt que leur mise en décharge.”

Comment le BIM transforme radicalement l'écologie du bâtiment : Les pionniers économisent 40% d'énergie tandis que les retardataires disparaissent

Agir maintenant pour ne pas disparaître demain

L’urgence climatique et les évolutions réglementaires ne laissent plus de place à l’attentisme. Les acteurs de la construction font face à un choix existentiel : embrasser la révolution du BIM environnemental ou risquer la marginalisation progressive.

Pour ceux qui hésitent encore, la première étape consiste à réaliser un diagnostic numérique de leur organisation. Plusieurs organismes professionnels proposent des outils d’auto-évaluation permettant d’identifier les priorités et de construire une feuille de route adaptée. La seconde étape implique de former une première équipe pilote et de sélectionner un projet test sur lequel déployer progressivement ces nouveaux outils.

L’investissement peut sembler conséquent à court terme, mais les données économiques sont sans appel : selon l’étude Smart Building Alliance 2023, le retour sur investissement du BIM environnemental intervient en moyenne après seulement 2,7 projets. Plus significatif encore, les cabinets ayant pleinement intégré cette approche affichent des marges supérieures de 4,3 points à la moyenne du secteur.

Dans un marché de la construction en pleine mutation écologique, le BIM n’est plus un simple outil technique mais le vecteur principal de la transition vers un bâti durable. Il permet enfin de réconcilier l’impératif environnemental avec les réalités économiques du secteur. Comme le résume Françoise Réal, directrice de la transition écologique chez un grand promoteur : “Le BIM a transformé l’écologie dans le bâtiment, d’une contrainte coûteuse en un avantage compétitif mesurable. Ceux qui ne s’y engagent pas maintenant préparent simplement leur sortie du marché.”

La question n’est plus de savoir si votre entreprise adoptera le BIM environnemental, mais quand et comment elle le fera pour rester dans la course. Car dans ce nouveau paradigme de la construction durable, les outils numériques ne sont pas simplement un moyen de construire mieux – ils sont devenus la condition même pour continuer à construire.

Tags:AlgorithmeAnalyse du cycle de vieArchitecture bioclimatiqueArteliaAvantage compétitifBase de donnéesBéton bas carboneBéton de cimentBois lamellé-colléBordeauxBuilding information modelingChangement climatiqueChâtenay-MalabryConstructionConstruction durableDécharge (déchet)Déchet de démolitionDémolition navaleDominique PerraultDuneÉconomie (activité humaine)Économie (discipline)Économie circulaireEfficacité énergétique (économie)EgisEiffage ConstructionEmpreinte carboneEnvironnementFracture numériqueFranceGaz à effet de serreGéométrieGratte-cielHélène RousselHeure d'été d'Europe centraleHyperion RecordsInformation environnementaleInnovationInvestisseur institutionnelJean-Marc Fournier (homme politique)Jumeau numériqueLaurent StefaniniLéré (Cher)LogicielMaquette numériqueMarché (économie)MatériauModèle mathématiqueMondial du BâtimentNantesNeutralité carboneParadigmeQuantité de matièreRaphaël MénardRéglementation environnementale 2020Rénovation énergétiqueRessources et consommation énergétiques mondialesRetour sur investissementRévolutionRoyaume de FranceScanner tridimensionnelScénario RCPTechniqueThomas DurandTo-LyonTransformation numériqueTransition écologiqueUnité urbaine de ParisValeur ajoutée
Partager cet article
LinkedIn Email Print
Article précédent Le paradoxe des économies d'énergie dans les hôpitaux : pourquoi les établissements les plus innovants réduisent drastiquement leurs factures Le paradoxe des économies d’énergie dans les hôpitaux : pourquoi les établissements les plus innovants réduisent drastiquement leurs factures

Derniers articles

Comprendre l’efficacité énergétique dans la construction et sa mise en œuvre
Construction durableRéhabilitation & Rénovation
Comprendre l’efficacité énergétique dans la construction et sa mise en œuvre
L'écomobilité et son rôle dans la transformation urbaine durable
Villes durables
L’écomobilité et son rôle dans la transformation urbaine durable
Labels de certification pour les pratiques de construction écologiques
Construction durable
Labels de certification pour les pratiques de construction écologiques
Cette simple technique d'isolation naturelle réduira votre facture énergétique de moitié
Eco-constructionFAQRéhabilitation & Rénovation
Cette simple technique d’isolation naturelle réduira votre facture énergétique de moitié

Catégories

  • Bim394
  • Blog7
  • Construction durable870
  • Construction hors-site128
  • Eco-conception114
  • Eco-construction299
  • Energies bas-carbone226
  • Energies renouvelables149
  • FAQ145
  • Réemploi & Recyclage177
  • Réhabilitation & Rénovation208
  • Secteur public61
  • Villes durables403

A lire également...

Impact du BIM sur les résultats de projet
Bim

Impact du BIM sur les résultats de projet

14/10/2024
Une illustration numérique d'un chantier de construction montrant un modèle d'information du bâtiment en 3D sur un écran, avec des panneaux solaire...
Bim

Comment optimiser la gestion énergétique grâce au BIM en 2025

07/04/2025
Optimisez vos résultats de projet grâce au BIM
Bim

Optimisez vos résultats de projet grâce au BIM

23/09/2024
Optimiser la collaboration dans le BIM : meilleures pratiques et outils essentiels
Bim

Optimiser la collaboration dans le BIM : meilleures pratiques et outils essentiels

08/09/2024
  • Construction durable
  • Éco-conception
  • Éco-construction
  • Hors-site
  • Bas carbone
  • Renouvelable
  • Réemploi & recyclage
  • Réhabilitation & rénovation
  • Secteur public
  • FAQ
  • Blog
Welcome Back!

Sign in to your account

Username or Email Address
Password

Lost your password?