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Comment Marseille Nord est devenue un modèle de rénovation écologique en France
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Réhabilitation & Rénovation

Comment Marseille Nord est devenue un modèle de rénovation écologique en France

Jean-Philippe
de Jean-Philippe
Publié 13/07/2025
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Lu en 17 mn
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Le soleil se levait sur un horizon de tours grises et délabrées. Façades écaillées, fenêtres rafistolées avec du carton, espaces verts transformés en décharges improvisées. C’était Marseille Nord en 2017, symbole d’un urbanisme dépassé et d’une fracture sociale béante. Aujourd’hui, cinq ans plus tard, les mêmes rues racontent une histoire radicalement différente.

Sommaire
L’avant : un héritage d’isolation et de précarité énergétiqueLe tournant : une vision systémique plutôt que des rustinesLa métamorphose : des solutions techniques innovantes au service d’une vision socialeL’innovation sociale : quand les habitants deviennent acteurs de la transitionL’après : des résultats qui dépassent les prévisionsUn modèle reproductible ? Les enseignements de Marseille NordDe l’expérimentation à la norme : Vers une nouvelle politique nationaleQuand l’écologie devient vecteur de justice sociale

« Je ne reconnais plus mon quartier, et c’est la plus belle chose qui pouvait nous arriver », témoigne Fatima Benali, 67 ans, habitante du quartier de La Castellane depuis quatre décennies. « Avant, mes petits-enfants ne voulaient pas venir me voir. Maintenant, ils me supplient de les emmener au nouveau parc écologique. »

Cette métamorphose n’est pas le fruit du hasard, mais celui d’un projet titanesque de rénovation écologique urbaine qui a transformé 22 hectares et 47 bâtiments abritant plus de 12,000 personnes. Un projet qui défie les idées reçues sur ce qui est possible dans les quartiers dits “sensibles” et qui réécrit l’avenir de l’urbanisme durable en France.

L’avant : un héritage d’isolation et de précarité énergétique

Pour comprendre l’ampleur de la transformation, il faut se replonger dans la réalité brutale de ce qu’était Marseille Nord. Construits à la hâte dans les années 1960-70, les immeubles de La Castellane, Font-Vert et Plan d’Aou symbolisaient l’échec d’un urbanisme prioritaire aux ambitions louables mais à la réalisation catastrophique.

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« Ces bâtiments étaient de véritables passoires thermiques », explique Julien Marchand, ingénieur thermicien qui a participé au diagnostic initial du projet. « Nous avons mesuré des déperditions énergétiques allant jusqu’à 380 kWh/m²/an dans certains bâtiments, quand la norme actuelle vise moins de 50 kWh/m²/an. Les habitants payaient littéralement pour chauffer l’extérieur. »

Les chiffres parlaient d’eux-mêmes. Une étude préliminaire menée en 2017 par l’Agence Locale de l’Énergie et du Climat révélait que 73% des logements de la zone se trouvaient en situation de précarité énergétique. Les factures d’énergie représentaient en moyenne 18% du budget des ménages, contre 8,5% pour la moyenne nationale. Des familles entières s’entassaient dans une seule pièce l’hiver pour économiser le chauffage.

Au-delà des problèmes énergétiques, l’environnement lui-même était hostile. Les espaces communs, originellement pensés comme lieux de vie partagés, s’étaient transformés en no man’s land bétonnés. La biodiversité locale avait pratiquement disparu, avec seulement trois espèces d’oiseaux recensées dans un inventaire ornithologique de 2016. Le taux d’imperméabilisation des sols atteignait 87%, provoquant régulièrement des inondations lors des fortes pluies méditerranéennes.

Les conséquences sur la santé publique ne se faisaient pas attendre. Les médecins du quartier rapportaient une prévalence d’asthme et d’allergies respiratoires 2,7 fois supérieure à la moyenne marseillaise, directement liée aux problèmes d’humidité et de moisissures dans les logements mal isolés.

Comment Marseille Nord est devenue un modèle de rénovation écologique en France

Le tournant : une vision systémique plutôt que des rustines

En 2018, après des décennies de promesses non tenues et de rénovations partielles qui n’avaient fait qu’effleurer les problèmes structurels, un consortium inédit se forme. Porté par la métropole Aix-Marseille-Provence, l’ANRU (Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine), la Banque des Territoires et un collectif d’associations locales, le projet “Marseille Nord Respire” prend forme avec une ambition claire: transformer radicalement l’environnement bâti tout en plaçant ses habitants au cœur du processus.

« L’originalité de notre approche résidait dans son caractère holistique », affirme Sophie Vernant, architecte coordinatrice du projet. « Nous ne voulions pas simplement améliorer l’isolation ou changer les fenêtres. Nous avons repensé l’habitat dans sa globalité, en considérant chaque bâtiment comme un écosystème connecté à son environnement. »

Le projet s’est structuré autour de trois piliers fondamentaux: l’efficience énergétique, la résilience climatique et la régénération sociale. Un budget colossal de 187 millions d’euros a été débloqué, avec une répartition qui illustrait bien les priorités: 60% pour les travaux de rénovation écologique, 25% pour les aménagements d’espaces publics durables, et 15% pour l’accompagnement social et la formation professionnelle des habitants.

Contrairement aux approches traditionnelles qui déplacent temporairement ou définitivement les populations, le principe du “zéro déplacement forcé” a été adopté. Des modules temporaires éco-conçus ont été installés sur place pour reloger les habitants pendant les travaux de leur immeuble, garantissant ainsi la continuité du tissu social.

La métamorphose : des solutions techniques innovantes au service d’une vision sociale

La première phase du projet a consisté en une rénovation thermique profonde des bâtiments. Mais là où d’autres projets se contentent d’ajouter une couche d’isolant standard sur les façades, “Marseille Nord Respire” a innové à plusieurs niveaux.

L’isolation extérieure a été réalisée avec des matériaux biosourcés produits localement: panneaux de fibre de bois compressée, enduits à la chaux-chanvre, isolation en ouate de cellulose recyclée. Cette approche a permis de réduire l’empreinte carbone des travaux de 42% par rapport à des matériaux conventionnels, tout en soutenant une filière économique régionale émergente.

« Le plus fascinant dans ce projet était la manière dont la science des matériaux rencontrait les savoirs traditionnels méditerranéens », raconte Jean-Marc Pelegrin, chercheur au CNRS et conseiller scientifique du projet. « Par exemple, nous avons adapté des techniques ancestrales de régulation thermique utilisées dans l’architecture provençale, comme les façades ventilées, mais avec des matériaux et des technologies contemporaines. »

Les toitures ont été complètement repensées selon un principe de multifonctionnalité. Chaque toit est devenu soit une surface de production d’énergie solaire (5700m² de panneaux photovoltaïques installés), soit un espace de biodiversité (toitures végétalisées avec des espèces méditerranéennes résistantes à la sécheresse), soit une surface de collecte d’eau de pluie. Ces systèmes de récupération d’eau permettent aujourd’hui de couvrir 82% des besoins en eau non potable du quartier (irrigation, nettoyage des espaces communs, chasses d’eau).

L’intérieur des logements n’a pas été négligé. Chaque appartement a été équipé d’un système de ventilation double flux à récupération de chaleur, d’un dispositif de monitoring énergétique connecté, et d’équipements hydroéconomes. Les habitants ont reçu une formation personnalisée pour optimiser l’utilisation de ces nouvelles technologies.

Comment Marseille Nord est devenue un modèle de rénovation écologique en France

L’innovation sociale : quand les habitants deviennent acteurs de la transition

La dimension technique du projet, aussi impressionnante soit-elle, n’explique pas à elle seule son succès. La véritable révolution de “Marseille Nord Respire” réside dans son approche participative.

« Nous avons cassé le modèle paternaliste de la rénovation urbaine où tout est décidé d’en haut », explique Nadia Boulainseur, présidente de l’association “Marseille en Transition” et habitante du quartier Font-Vert. « Les résidents n’ont pas été traités comme des bénéficiaires passifs, mais comme des experts de leur propre cadre de vie. »

Concrètement, cette philosophie s’est traduite par la création de 15 comités d’immeuble qui ont participé activement aux décisions concernant les espaces communs et les équipements. Des “ateliers de conception participative” ont permis aux habitants de travailler directement avec architectes et ingénieurs sur des maquettes interactives et des simulations 3D.

Plus remarquable encore, le projet a généré une dynamique d’emploi local grâce à des clauses d’insertion ambitieuses: 28% des heures travaillées ont été réalisées par des habitants du quartier, formés spécifiquement aux métiers de la construction durable. Trois entreprises d’insertion spécialisées dans la rénovation écologique sont nées pendant le projet et continuent aujourd’hui à employer des résidents sur d’autres chantiers de la région.

« J’étais sans emploi depuis trois ans quand j’ai intégré la formation en pose d’isolants biosourcés », témoigne Karim Ferradji, 42 ans. « Aujourd’hui, je suis chef d’équipe et je forme moi-même les nouveaux. Le plus gratifiant? Avoir travaillé sur la rénovation de mon propre immeuble. Mes enfants sont fiers de dire que leur père a construit leur maison. »

L’après : des résultats qui dépassent les prévisions

Trois ans après la fin des principaux travaux, les résultats dépassent les projections initiales les plus optimistes. Sur le plan énergétique, la consommation moyenne des bâtiments a chuté de 380 à 47 kWh/m²/an, soit une réduction de 87%. Combinée à la production locale d’énergie renouvelable, l’empreinte carbone du quartier a diminué de 65% par rapport à 2017.

Les factures énergétiques des ménages ont été réduites en moyenne de 73%, libérant un pouvoir d’achat considérable pour des familles souvent précaires. Une enquête de satisfaction menée par un organisme indépendant révèle que 91% des habitants déclarent un confort thermique “bon” ou “très bon”, contre seulement 22% avant les travaux.

Sur le plan environnemental, les transformations sont tout aussi spectaculaires. La création de trois corridors écologiques, la désimperméabilisation de 45% des surfaces bétonnées et l’introduction de jardins partagés ont entraîné un retour massif de la biodiversité. Le dernier inventaire compte désormais 27 espèces d’oiseaux nicheurs et une augmentation de 310% de la présence d’insectes pollinisateurs.

Les bénéfices sociaux, plus difficiles à quantifier mais tout aussi tangibles, se manifestent de multiples façons. Les médecins locaux rapportent une baisse de 42% des consultations liées aux pathologies respiratoires. Le taux de réussite scolaire des enfants du quartier a augmenté de 18% en trois ans, un phénomène que les enseignants attribuent en partie à l’amélioration des conditions de logement permettant un meilleur sommeil et des espaces appropriés pour les devoirs.

« Le plus frappant, c’est la manière dont les espaces communs sont maintenant investis », observe Marie-Claire Duchamp, sociologue qui suit l’évolution du quartier depuis dix ans. « Avant, les gens traversaient rapidement les espaces extérieurs pour rejoindre leur appartement. Aujourd’hui, ces espaces sont devenus des lieux de vie, d’échange, de rencontre intergénérationnelle. »

Comment Marseille Nord est devenue un modèle de rénovation écologique en France

Un modèle reproductible ? Les enseignements de Marseille Nord

Le succès de “Marseille Nord Respire” suscite aujourd’hui l’intérêt bien au-delà des frontières marseillaises. Des délégations venues de toute la France, mais aussi d’Espagne, d’Italie et même du Maroc, viennent régulièrement étudier ce qui est considéré comme un cas d’école en matière de rénovation écologique urbaine.

« Ce qui est particulièrement intéressant, c’est que ce projet démontre qu’une rénovation ambitieuse est possible même dans des contextes socialement complexes », analyse Philippe Courtois, directeur de l’Observatoire National de la Rénovation Urbaine. « Marseille Nord prouve qu’on peut concilier haute performance environnementale et justice sociale. »

Le projet a généré un catalogue de bonnes pratiques désormais accessible en ligne, documentant dans le détail chaque phase, des méthodes participatives aux solutions techniques. Cinq “principes de Marseille” ont été formalisés pour guider d’autres initiatives similaires:

1. L’approche systémique qui considère le bâti, l’environnement et le social comme un tout indissociable.

2. Le principe de co-construction qui place les habitants au cœur des décisions.

3. L’utilisation prioritaire de matériaux biosourcés locaux pour minimiser l’empreinte carbone.

4. La multifonctionnalité de chaque aménagement (par exemple, une toiture qui produit de l’énergie, capte l’eau et crée de la biodiversité).

5. La création de valeur locale par la formation et l’emploi des résidents.

Loin d’être un cas isolé impossible à reproduire, l’expérience marseillaise apporte la preuve concrète qu’une autre approche de la rénovation urbaine est non seulement possible, mais économiquement viable sur le long terme. Le surcoût initial de 12% par rapport à une rénovation conventionnelle est amorti en moins de huit ans grâce aux économies d’énergie réalisées.

De l’expérimentation à la norme : Vers une nouvelle politique nationale

L’impact de “Marseille Nord Respire” dépasse aujourd’hui largement le cadre local. Le projet a directement influencé plusieurs politiques publiques nationales, notamment la nouvelle version du dispositif MaPrimeRénov’ qui intègre désormais des bonus spécifiques pour l’utilisation de matériaux biosourcés et les approches collectives de rénovation.

Plus significatif encore, une proposition de loi inspirée directement de l’expérience marseillaise est actuellement en discussion à l’Assemblée Nationale. Elle vise à généraliser certains aspects du modèle, notamment l’obligation d’intégrer des clauses d’insertion professionnelle dans tous les grands projets de rénovation urbaine financés par l’État.

« Marseille Nord est devenu un laboratoire vivant de la transition écologique en milieu urbain dense », affirme Estelle Morin, ministre déléguée à la Ville et au Logement, lors d’une récente visite. « Ce qui se joue ici va bien au-delà d’une simple rénovation de bâtiments. C’est une démonstration de ce que pourrait être une société réellement durable et inclusive. »

Comment Marseille Nord est devenue un modèle de rénovation écologique en France

Quand l’écologie devient vecteur de justice sociale

L’histoire de la transformation de Marseille Nord est d’abord celle d’un renversement de perspective. Là où l’écologie était souvent perçue comme un luxe inaccessible aux quartiers populaires, elle est devenue le moteur d’une profonde amélioration des conditions de vie.

« Le projet nous a montré que l’urgence écologique et l’urgence sociale ne sont pas deux combats séparés, mais deux facettes d’une même lutte », résume Yamina Tadjeddine, présidente du conseil citoyen de La Castellane. « Les populations les plus vulnérables sont aussi celles qui souffrent le plus de la précarité énergétique et des conséquences du changement climatique. Apporter des solutions environnementales, c’est aussi répondre à des enjeux de justice sociale. »

Si la métamorphose physique des lieux est désormais achevée, le processus de transformation sociale qu’elle a enclenché continue de se déployer. De nouveaux projets citoyens émergent chaque mois: création d’une coopérative énergétique locale, développement d’une agriculture urbaine professionnelle sur les toits, mise en place d’un réseau d’échange de compétences liées aux pratiques écologiques…

Au-delà des tonnes de CO2 économisées et des kilowattheures préservés, c’est peut-être là que réside le véritable miracle de Marseille Nord: avoir transformé un territoire stigmatisé en incubateur d’innovations socio-écologiques, avoir redonné fierté et pouvoir d’agir à une communauté longtemps marginalisée.

« Avant, quand je disais que j’habitais à La Castellane, les gens faisaient une grimace », conclut Fatima Benali avec un sourire malicieux. « Aujourd’hui, ils me demandent si je peux leur faire visiter. C’est ça, la vraie révolution. »

La rénovation écologique de Marseille Nord démontre qu’une autre façon de construire et d’habiter la ville est possible. Une approche qui réconcilie l’humain et son environnement, qui fait de la transition écologique non pas une contrainte mais une opportunité de créer des territoires plus justes, plus résilients et plus vivants. Un modèle qui, espérons-le, inspirera bien d’autres transformations à travers le pays et au-delà.

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